Berceuse au vent léger,
Détendue du regard mépris
Détendue du regard mépris
Des inhospitaliers,
L'ange a semé des fleurs roses à l'oubliée
Sur le grain terre du sablier explosé.
Sans rancune d'un avant tiers minuit,
L'ombre a ouvert sa brèche profonde,
Au gouffre immonde de l'endormi.
Les ramiers se sont cherchés sur le toit.
Taule du taulier maudit,
Sans savoir le regret du maître parti.
Ils ne savaient pas.
Tout se voit.
Dans les regards et dans les voix.
Aux lustres pendus d'armes inégalables,
Poussiéreux des joies de l'hier,
Au soleil palpable sur miradors fondus
Des films barbelés en décor de guerre.
Le vomi sur fin ENFIN jeté à la cour des sacrifices
L'enfant rejouera demain sur celle,
Des miracles sans faim ni artifice.
LIBRE!
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